CE QUI RESTE D’UNE NATION
Plus que 10,000 canadiens sont tués entre 2016 et 2018 à cause d'une surdose opioides. Ils rentrent dans les statistiques du gouvernement qui va prendre connaissance de ce problème, en vue d'y remédier éventuellement et peut-être ça s'arrête là.
Mais il y a ces milliers d'humains qui ont perdu la vie sur les champs de bataille des âmes de ce grand dilemme sur les sentiers de l'existence. C'est un drame que certains vont lire comme un tout simple événement parmi tant de vies perdues et que d'autres vont considérer sérieusement, comme un sort tragique d'une jeune nation sur sa croisée des plus difficiles.
On a besoin de s'attarder sur la vraie raison qui pousse des milliers d'humains de faire cet excès les menant à finir.
Ce qui reste d'une nation ne doit pas être les débris de sa civilisation, son patrimoine et ses martyrs. Une culture de décadence animée pas son désespoir continu, serait une culture sans valeurs.Ça risque d'empêcher toute tentative, même inculte, pour sauver un être lourdement insulté, renié sans reconnaissance.
Il faut un précurseur pour tenter de protéger l'éthique morale, démunie, dénuée, tourmentée, dépourvue.
Comment exister dans une grande famille fictive, le mal être de Société où le bonheur est Solitudes par Peur de s'ouvrir, méfiance inconsciente, manque d'estime], ne pas plaire, être blessé, décevoir, triste non pas par peine d'amour, mais pour être aimé...
Comment exister sans vouloir recevoir ni partager. La beauté ce n'est pas un patrimoine privé d'où le droit du regard. Si tu es un être beau ne te gène pas de subir la contemplation car un arbre vert ne se cache pas sous le ciel.
Comment pouvoir accepter ou tolérer cette façon criante de contrebalancer le bonheur pour la grande quête des vérités sur les chemins de liberté.
Ce serait inacceptable d'être convaincu que des milliers d'humains sont partis en ayant le coeur si léger comme une plume, parcequ'à force d'être très heureux ils en avaient le mal de vivre. Le fait de ne pas pouvoir comprendre en toute clarté et authenticité, les vraies motivations derrière une fin si tragique, est une décadence criante - insulte à l'humanité - étouffée par ses écumes de l'ignorance.
Il est impératif de percer le tunnel de l'aveuglement,démanteler son encerclement d'un élément essentiel manquant. Il est temps que la conscience se réveille pour contempler pleinement une société fébrile, effacée de ses lieux sacrés, ravagée par une forme de prostitution obligée, souvent déchue et dévolue.
C'est quoi ce silence impitoyablement cruel comme moyen d'imposer l'éloignement pour me dire ne pas vouloir mes amours. Émoi de nullité... La responsabilité sociétale reste la base d'une éducation consciente.
Une digue tombée par la force du courant d'eau a causé une innondation faisant ainsi des milliers de déplacés. L'autre digue mentale, percée des tueurs du terrorisme a causé la mort des centaine de croyants en Nouvelle Zélande et au Srilankà. La digue opiniâtre semble dépasser toutes les autres, par ses effets «efficaces» néfastes. Jusqu'à quelle limite la légitimité serait gage de liberté.
Quand l'autre vient te déposer une fleur à ta porte, ouvre lui au moins ta fenêtre.
Mais il y a ces milliers d'humains qui ont perdu la vie sur les champs de bataille des âmes de ce grand dilemme sur les sentiers de l'existence. C'est un drame que certains vont lire comme un tout simple événement parmi tant de vies perdues et que d'autres vont considérer sérieusement, comme un sort tragique d'une jeune nation sur sa croisée des plus difficiles.
On a besoin de s'attarder sur la vraie raison qui pousse des milliers d'humains de faire cet excès les menant à finir.
Ce qui reste d'une nation ne doit pas être les débris de sa civilisation, son patrimoine et ses martyrs. Une culture de décadence animée pas son désespoir continu, serait une culture sans valeurs.Ça risque d'empêcher toute tentative, même inculte, pour sauver un être lourdement insulté, renié sans reconnaissance.
Il faut un précurseur pour tenter de protéger l'éthique morale, démunie, dénuée, tourmentée, dépourvue.
Comment exister dans une grande famille fictive, le mal être de Société où le bonheur est Solitudes par Peur de s'ouvrir, méfiance inconsciente, manque d'estime], ne pas plaire, être blessé, décevoir, triste non pas par peine d'amour, mais pour être aimé...
Comment exister sans vouloir recevoir ni partager. La beauté ce n'est pas un patrimoine privé d'où le droit du regard. Si tu es un être beau ne te gène pas de subir la contemplation car un arbre vert ne se cache pas sous le ciel.
Comment pouvoir accepter ou tolérer cette façon criante de contrebalancer le bonheur pour la grande quête des vérités sur les chemins de liberté.
Ce serait inacceptable d'être convaincu que des milliers d'humains sont partis en ayant le coeur si léger comme une plume, parcequ'à force d'être très heureux ils en avaient le mal de vivre. Le fait de ne pas pouvoir comprendre en toute clarté et authenticité, les vraies motivations derrière une fin si tragique, est une décadence criante - insulte à l'humanité - étouffée par ses écumes de l'ignorance.
Il est impératif de percer le tunnel de l'aveuglement,démanteler son encerclement d'un élément essentiel manquant. Il est temps que la conscience se réveille pour contempler pleinement une société fébrile, effacée de ses lieux sacrés, ravagée par une forme de prostitution obligée, souvent déchue et dévolue.
C'est quoi ce silence impitoyablement cruel comme moyen d'imposer l'éloignement pour me dire ne pas vouloir mes amours. Émoi de nullité... La responsabilité sociétale reste la base d'une éducation consciente.
Une digue tombée par la force du courant d'eau a causé une innondation faisant ainsi des milliers de déplacés. L'autre digue mentale, percée des tueurs du terrorisme a causé la mort des centaine de croyants en Nouvelle Zélande et au Srilankà. La digue opiniâtre semble dépasser toutes les autres, par ses effets «efficaces» néfastes. Jusqu'à quelle limite la légitimité serait gage de liberté.
Quand l'autre vient te déposer une fleur à ta porte, ouvre lui au moins ta fenêtre.